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Les contemplations: Aujourd'hui, 1843-1856. Victor HugoЧитать онлайн книгу.

Les contemplations: Aujourd'hui, 1843-1856 - Victor Hugo


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href="#ulink_99a4ba31-60ed-56e7-bbd8-ef69f196d35c">XXIV

       EN FRAPPANT A UNE PORTE

       XXV

       NOMEN, NUMEN, LUMEN

       XXVI

       CE QUE DIT LA BOUCHE D'OMBRE

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       A CELLE QUI EST RESTÉE EN FRANCE

       TABLE DU TOME SECOND 1843-1856.

       Table des matières

       Table des matières

       Table des matières

      Il est temps que je me repose;

      Je suis terrassé par le sort.

      Ne me parlez pas d'autre chose

      Que des ténèbres où l'on dort!

      Que veut-on que je recommence?

      Je ne demande désormais

      À la création immense

      Qu'un peu de silence et de paix!

      Pourquoi m'appelez-vous encore?

      J'ai fait ma tâche et mon devoir.

      Qui travaillait avant l'aurore,

      Peut s'en aller avant le soir.

      À vingt ans, deuil et solitude!

      Mes yeux, baissés vers le gazon,

      Perdirent la douce habitude

      De voir ma mère à la maison.

      Elle nous quitta pour la tombe;

      Et vous savez bien qu'aujourd'hui

      Je cherche, en cette nuit qui tombe,

      Un autre ange qui s'est enfui!

      Vous savez que je désespère,

      Que ma force en vain se défend,

      Et que je souffre comme père,

      Moi qui souffris tant comme enfant!

      Mon oeuvre n'est pas terminée,

      Dites-vous. Comme Adam banni,

      Je regarde ma destinée,

      Et je vois bien que j'ai fini.

      L'humble enfant que Dieu m'a ravie

      Rien qu'en m'aimant savait m'aider;

      C'était le bonheur de ma vie

      De voir ses yeux me regarder.

      Si ce Dieu n'a pas voulu clore

      L'oeuvre qu'il me fit commencer,

      S'il veut que je travaille encore,

      Il n'avait qu'à me la laisser!

      Il n'avait qu'à me laisser vivre

      Avec ma fille à mes côtés,

      Dans cette extase où je m'enivre

      De mystérieuses clartés!

      Ces clartés, jour d'une autre sphère,

      O Dieu jaloux, tu nous les vends!

      Pourquoi m'as-tu pris la lumière

      Que j'avais parmi les vivants?

      As-tu donc pensé, fatal maître,

      Qu'à force de te contempler,

      Je ne voyais plus ce doux être,

      Et qu'il pouvait bien s'en aller!

      T'es-tu dit que l'homme, vaine ombre,

      Hélas! perd son humanité

      A trop voir cette splendeur sombre

      Qu'on appelle la vérité?

      Qu'on peut le frapper sans qu'il souffre,

      Que son coeur est mort dans l'ennui,

      Et qu'à force de voir le gouffre,

      Il n'a plus qu'un abîme en lui?

      Qu'il va, stoïque, où tu l'envoies,

      Et que désormais, endurci,


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