L'oiseau bleu. Contes de terre et de mer. Книга для чтения на французском языке. Светлана Владимировна КлесоваЧитать онлайн книгу.
незаконченное.
J'ai vu (я увидела) – le passé composé – прошедшее законченное.
Je tâcherai (я постараюсь) – le futur simple – простое будущее.
Elle retorna (она вернулась) – le passé simple – простое прошедшее (время книжной речи), употребляется вместо passé composé – прошедшего законченного.
Ce ne sont point (это вовсе не) – le présent – настоящее время.
3. Lisez.
Au temps des contes d’autrefois, vivait une fermière qui était veuve et avait trois enfants, deux garçons et une fille.
Tous les mercredis elle se mettait en route pour aller porter au marché le beurre de ses vaches, et elle prenait le chemin de la ville qui traversait une forêt. Un jour elle vit un joli petit oiseau bleu, qui voletait de branche en branche autour d’elle et se laissait aussi facilement approcher que s’il avait été apprivoisé : toutes les fois qu’elle passait, il se présentait à elle et elle finit par en parler à ses enfants.
– J’ai encore vu aujourd’hui le petit oiseau bleu : il est si mignon que le bouvreuil et le chardonneret sembleraient laids auprès de lui.
– Tu aurais dû le prendre et nous l’apporter, s’écrièrent les enfants : nous serions bien contents de l’avoir, et nous aurions grand soin de lui.
– Si je le vois encore, je tâcherai de l’attraper, puisque vous en avez si grande envie.
Quand elle retourna au marché, elle revit l’oiseau bleu, et en repassant par la forêt après avoir vendu son beurre, elle l’aperçut de nouveau. Elle s’approcha de lui, et il se laissa prendre sans même essayer de s’enfuir.
Lorsque les enfants virent le petit oiseau, ils sautèrent de joie, et c’était à qui le caresserait ; ils le mirent dans une jolie cage, et chacun se faisait un plaisir de le soigner.
Tous les matins ils trouvaient dans la cage un œuf jaune, qui était si brillant qu’on avait peine à le regarder quand le soleil frappait dessus. La veuve ramassa les œufs, et quand elle en eut une douzaine, elle les porta à un marchand d’œufs en lui proposant de les acheter.
– Ce ne sont point des œufs ordinaires, ma bonne femme, répondit le marchand ; c’est de l’or, et je ne suis pas assez riche pour vous payer ce que vous apportez.
4. Mettez ces verbes à l'imparfait: être, avoir, traverser, voleter, trouver.
la fermière ____ veuve – фермерша была вдовой, elle ____ une fille et deux fils – у неё была одна дочь и два сына, la veuve ____ une forêt pour arriver au marché – вдова проходила через лес, чтобы попасть на рынок, un oiseau bleu ___ autour d'elle – синяя птичка порхала вокруг неё, les enfants ____ des oeufs jaunes dans la cage – дети находили жёлтые яйца в клетке.
Questionnaire
1. Combien d'enfants avait la fermière?
2. Où vendait-elle son beurre?
3. Pourquoi traversait-elle la forêt?
4. Qui voyait-elle dans la forêt chaque fois quand elle allait au marché?
5. Qu'est-ce que les enfants ont dit à leur mère?
6. Qu'a-t-elle fait après?
7. Qu'est-ce qu'on trouvait dans la cage de l'oiseau?
8. Pourquoi le marchand ne pouvait-il pas payer les oeufs jaunes?
Corrigé
1. Répondez aux questions : qui, quoi, pourquoi…
Exemple : qui – une fermière (qui a trois enfants) ; quoi – va au marché ; pourquoi – pour vendre son beurre… .
4. Mettez ces verbes à l'imparfait: être, avoir, traverser, voleter, trouver.
la fermière était veuve – фермерша была вдовой, elle avait une fille et deux fils – у неё была одна дочь и два сына, la veuve traversait une forêt pour arriver au marché – вдова проходила через лес, чтобы попасть на рынок, un oiseau bleu voletait autour d'elle – синяя птичка порхала вокруг неё, les enfants trouvaient des oeufs jaunes dans la cage – дети находили жёлтые яйца в клетке.
Traduction
Во времена старинных сказок, жила одна фермерша, была она вдовой и было у неё три ребёнка: два мальчика и одна девочка.
Каждый четверг женщина отправлялась в путь, чтобы отнести на рынок масло от её коров, и шла она дорогой к городу, которая проходит через лес. Однажды, она увидела хорошенькую синюю птичку, которая порхала вокруг неё с ветки на ветку и так легко подпускала к себе, как будто её приручили: каждый раз, когда женщина шла по лесу, появлялась эта птичка и закончилось тем, что фермерша рассказала всё своим детям.
– Сегодня я опять видела синюю птичку, она такая славная, что снегирь или щегол рядом с ней казались бы не такими красивыми.
– Ты должна была взять её и принести нам, – закричали дети, – мы так были бы довольны, что она у нас есть, и мы бы очень хорошо о ней заботились.
– Если я увижу её опять, я постараюсь её поймать, раз уж вам так этого хочется.
Когда она шла на рынок, она снова увидела синюю птицу и, возвращаясь через лес, продав своё масло, заметила её опять. Женщина подошла к ней и взяла птичку в руки, а та даже не попыталась улететь.
Когда дети увидели птенца, они запрыгали от радости, было кому его погладить; они посадили птичку в хорошенькую клетку и с удовольствием заботились