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Exhumation Du Roi Fae. Brenda TrimЧитать онлайн книгу.

Exhumation Du Roi Fae - Brenda Trim


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l’air », expliqua Aobheal à Maurelle.

      Brokk, aux côtés de Ryker, s’approcha d’elle avec un sourire. Aucun des deux mâles ne remarqua la femelle qui s’approchait d’eux, la même qui regardait Maurelle quelques minutes auparavant. Génial ! Elle était déjà entourée d’ennemis ! Elle ne devrait pas être surprise. Seul son séjour à l’infirmerie l’avait épargnée des railleries sur sa silhouette.

      « Nous pouvons travailler là-bas », grogna Ryker. Il détourna son regard de la femelle en colère et Maurelle regarda Ryker. Elle admirait sa belle prestance. Pas étonnant que le Fae parfait à la silhouette mince et aux yeux bleus magnifiques cherche à devenir son partenaire.

      « Tu dois avoir un complexe de héros », souligna-t-elle en traversant l’espace pour venir à ses côtés.

      Son rire bas et rauque contrastait avec le ton dur qu’il avait adopté une seconde auparavant. Sa joie provoquait un effet sur son corps qu’elle se niait à reconnaître. Son estomac flottait et le reste de son corps se réchauffait, alors elle étouffa la réponse. Ryker se montrait gentil avec elle ! Elle ne pouvait pas envisager qu’il soit vaguement attiré par elle. Sa mauvaise attitude chronique le prouvait clairement, mais elle préférait qu’il se montre aimable.

      « Qui a dit que c’est à toi que je parlais ? » répliqua-t-il. Son sourire s’estompa.

      Brokk lui tapota le dos et lui adressa un sourire victorieux. « Ne fais pas attention à lui. Je te veux dans notre équipe. »

      Le visage de Maurelle s’échauffa et elle baissa la tête. Elle aimait le flirt ouvert de Brokk et ne comprenait pas les changements brusques d’attitude de Ryker. Il ne l’aimait évidemment pas, mais elle préférait les moments où il ne se montrait pas inopinément infect avec elle.

      Un murmure atteignit ses oreilles dans cette seconde, elle tourna la tête. « J’essaierais de partir si ce n’était pas pour toi. » Elle jura que Ryker avait chuchoté cette dernière partie, mais elle n’en était pas certaine alors qu’il se tenait là et fronçait les sourcils en la regardant.

      « Je nous ai apporté des crayons », annonça Brokk. Il retourna à ses côtés. Maurelle n’avait pas remarqué son absence. Il n’avait sûrement rien dit. Elle concentra alors son attention sur lui.

      « Qu’est-ce que je fais ?

      — Tu fais flotter le crayon, aboya Ryker en secouant la tête.

      — J’ai compris, Capitaine Flagrant, grogna-t-elle.

      — Le professeur nous a simplement dit de nous concentrer sur l’objet et d’imaginer qu’il flotte, intervint Brokk pour éviter que leur conversation ne tourne en dispute.

      — Waouh, tu dois posséder ce don de manière innée », annonça Brokk une seconde plus tard alors que le crayon flottait sur la paume de Maurelle.

      Erreur numéro cent, pensa-t-elle. Elle ignorait si son père aurait des ennuis si quelqu’un découvrait qu’ils l’avaient cachée depuis un an et qu’elle s’était entraînée autant et aussi souvent que possible.

      Compte tenu du risque d’exposition, rien d’exceptionnel ! Mais elle maîtrisait beaucoup plus de compétences qu’elle ne devrait, en sa position. « Quoi ? » Elle dévia son doigt et envoya le crayon s’écraser contre le mur de pierre à proximité.

      Un rapide coup d’œil lui permit d’apercevoir la professeure qui tapait sur une tablette. La vue de la technologie la surprit. Les Fae n’y avaient pas droit dans l’Edge. Elle s’était demandé un million de fois pourquoi les humains voulaient leur cacher de tels objets. Les gadgets de haute ingénierie ne les rendaient pas extrinsèquement plus forts. Elle parierait que les humains incitaient les enseignants à les utiliser pour surveiller les élèves.

      « Pas si inné que ça, après tout », déclara Ryker en ricanant. Son sourire n’atteignit pas ses yeux, mais révélait une réelle amélioration par rapport aux sourcils froncés.

      Maurelle rit avec lui en couvrant son estomac nerveux. Elle ferait mieux de remettre ses idées en place. Elle ne pouvait laisser personne soupçonner qu’elle avait reçu ses pouvoirs depuis si longtemps. Son père incarnait tout ce qu’il leur restait à elle et à ses sœurs.

      « C’est confirmé. Je me trouve dans un beau pétrin. C’est plus difficile qu’il n’y paraît.

      — Tu es vraiment sexy », murmura Brokk.

      Il permit à son regard de courir de haut en bas sur son corps. Elle aimait son flirt. Il était évidemment attiré par elle, mais elle ne se sentait pas mal à l’aise à ses côtés.

      « Si tu t’entraînes, ça deviendra plus facile », déclara Ryker en ignorant complètement le commentaire de Brokk.

      Aobheal s’approcha d’eux et croisa ses bras sur sa poitrine. Elle tenait la tablette sur ses seins menus. « Tout le monde possède la télékinésie. C’est un talent des Fae, donc vous ne tarderez pas à le maîtriser. Vous êtes sur la bonne piste, imaginez ce que vous voulez voir arriver. »

      « Quand pourrons-nous pratiquer les capacités spécifiques à l’air, madame la professeure ? » Elle espérait en apprendre plus sur ses aptitudes personnelles. Ses parents n’avaient pas osé l’encourager ou l’autoriser à beaucoup explorer. Sa seule certitude était de posséder la psychométrie.

      « Au trimestre prochain, expliqua Aobheal. Vous devez d’abord contrôler les compétences de base. De cette façon, les blessures accidentelles seront minimisées. »

      Maurelle hocha la tête et se concentra derechef sur les stylos. Ryker faisait tourner le sien en rond. Elle aussi parvenait de nouveau à maintenir le sien en l’air. Elle ajouta une oscillation et des mouvements saccadés à l’objet et l’envoya percuter le crayon de Ryker. Les deux volèrent tout droit en direction de l’enseignante.

      Les lèvres pincées, Aobheal agita la main et les deux crayons atterrirent sur la table sur le côté de la pièce. Maurelle observa Ryker, mais il se dirigeait déjà vers la table, alors elle continua vers Brokk. Quand elle croisa le regard de Brokk, ils commencèrent tous deux à rire. « Je veux devenir aussi puissant », admit-il.

      « Moi de même », pensa Maurelle. Ses émotions étaient peut-être émoussées, mais elle ressentait un besoin plus urgent que jamais de voir sa famille. Elle devait être jugée inoffensive pour la société pour être autorisée à rentrer chez elle.

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